In Articulo Mortis

A l'article de la mort
J'avourais haut et fort
Toutes ces grandes erreurs
Et j'oserais affronter ma peur

Toi le visage qui me hante
Dieu sait que je connais ton corps
Je te cris dans cette descente
A l'article de la mort

Dans mon dernier soupir
J'ouvrirais grand les yeux
De l'amour je n'aurais plus desir
Et j'implorerais les cieux

Mais ce jour est encore loin
Je cacherais mes pleures et mes torts
En attendant le malin
A l'article de la mort...

*

dimanche 6 Novembre
2011 a 17h18

Dialogue des deux Amants mort

- A trois, je te cherche dans ce labyrinthe de l'Amour
Aujourd'hui je ne joue plus
Mes sentiments sont à présent trop lourds
Dis-moi, pourquoi cours-tu ?

- Ma rose ce chemin tourne et vire
On a fait l'erreur de trop s'éloigner
Le feu m'atteints, je suis un poupon de cire
Retrouve moi quand le minotaure sera tué

- Mon destiné, il est bien tard
Satan m'a mit a nue
Mais mes loups te ramènerons ce soir
Je ne périrais pas seule et éperdue

- Que tes loups viennent dévorer mes os
La souffrance n'est rien face à ta peau
Oh, je te dis bonjour pur beauté
J'entends tes loups arriver...

Mardi 13 septembre 2011 a 11h53

Et tout se melange

J'aimerais en vain dédier
C'est tristes mots à mes douleurs
Mais je ne peux hélas les vouer
Elles me sont trop nombreuses à cette heure

Mon cerveau est une grande loterie
Ou j'ai, par malheur, pioché le mot "perdue"
Je me suis munis d'une éternelle insomnie
Qui me donne son coté ange déchue

J'ai voulu porter tant de peine
Pour, qui sait, épargner quelques veines
J'ai échoué dans ce périple sans fin
Et j'ai récolté plus de mes cris que de mon bien

Je n'ai qu'une simple poésie en somme
Mais mon mal etre me cogne
Et je comprends aujourd'hui
Que les mots fades et ternis...




Dimanche 29 Aout 2011 a 02h21

Un écrit d'Amour

Ton regard dans le mien

Est comme une lumiere dans le neant

Tu m'eclaire d'un rien

Et ton etre devient mon sang

J'ai appris par coeur

Les courbes de ton visage

Pour que dans ma memoire jamais elles ne meurent

Une telle beauté que j'avais crue mirage

Ton rire m'angelique

Tes pleurs m'asphixies

Comme je t'aime a l'infini

Je deviens , d'un cou , moins authentique

Tu achève ainsi

Mon siècle de poeme

A tes cotés enfin je vis

Et mon ame devient elle meme

Dimanche 17 juillet 2011 a 11h45

Un écrit d'Amour

Ton regard dans le mien

Est comme une lumiere dans le neant

Tu m'eclaire d'un rien

Et ton etre devient mon sang

J'ai appris par coeur

Les courbes de ton visage

Pour que dans ma memoire jamais elles ne meurent

Une telle beauté que j'avais crue mirage

Ton rire m'angelique

Tes pleurs m'asphixies

Comme je t'aime a l'infini

Je deviens , d'un cou , moins authentique

Ton achève ainsi

Mon siècle de poeme

A tes cotés enfin je vis

Et mon ame devient elle meme

Dimanche 17 juillet 2011 a 11h45

Alors j'attends

Avoir du courage
Phrase tant utilisé
Celle que j'essaie d'appliquer
Helas sans trop d'ouvrage

Qu'apporte ces douces nuits
Si celles-ci se passent seules ?
De solitude je suis munis
Et d'amour je fais deuil

Me tournant vers le ciel
Mes cauchemars sont merveilles
Vie d'orpheline
Entre solitude et spleen

Existe-tu ?
Toi, acteur de mon prochain ecrit
Je cris ton nom inconnu
Je t'attends et je perris





fais le : jeudi 2juin 2011 a 21h29

Pas de titre pour la douleur qu'exprime ces lignes

Morte, je suis
Quand dans l'enfer de mes cauchemar
Tu t'es enfuis
En me laissant sans crier gard

Au fond de ton etre
Une force celeste
Qui m'enmene avec toi loin de cette modite terre
Près des etoiles et dans l'univers

Nous sommes deux diaments de feu
Qui brille de leur fusion
J'ai peur de ces lieux
Dans lesquels nous nous perdrons

Toi, roi de mon ame
Quel phobie qui tu ne sois plus mon quotidien
Notre histoire ne doit pas etre drame
Mon coeur sera éternellement tien





fait le : Lundi 23 mais 2011 a 9:35

Lacrimosa

Je n'ai plus la force
D'encore une fois souffrir
Faites taire ces larmes atroces
Je veux retourner dans mes souvenirs

Comme un oiseau sans ailes
Je n'atteindrais pas le ciel
Noyée dans le passé
Je crois y etre condamnée

Et toi qui est partie
Je te pleure en continue
Sacrifier ma vie
Juste pour te voir a corps perdu

Pour Dieu t'as appelé ?
Il n'a pas vu mon chagrin
J'aurais voulu encore tenir ta main



fait le : vendredi 28 janvier 2011 a 11h54

J'abandonne

j'ai en vain combattu
Pour l'amour que j'ai bercé
Mon coeur est rompu
Je ne veux plus de l'etre aimé

J 'abandonne en regardant derriere moi
Chaque rires et pleurs
Aujourd'hui j'efface ce desaroi
Pauvre jumaux de l'ame soeur

Le soleil s'eteint
Quand l'amour est en hate
Et dans ce noir qui est mien
Je souhaite que la fleche me rate

Amour,Prince puissant de l'abime
Tu es, pour sur,le pir des crimes

Eternelement de toi je veux m'eloigner
Toute la haine et tout regrets



Jeudi 14 avril 2011 a 12h50 92eme pôeme

Un spectre m'a reveillé

Me sauvant de mon reve ensorcelé
Serait-ce lui ou la lumière de la matinée?
Je sens tellement sa presence a chacun de mes pas
Et le soir, quand je m'endors je sens sur ma peau ses bras

Aussi présent mais paradoxalement je ne le vois pas
La sensualité jusqu'à là vole en éclat
Mais spectre qui es-tu ?
seule à toi je mets mon ame à nue

Ta chaleure ne dévoile pas ton visage
Et j'aimerais efflerer tes levres au rivage
Je ne sais si tu existe
Es-tu de ce monde ou futur moin triste ?

Un spectre m'a réveillé
Passons notre vie sur un oreillé
Certains murs se rendent sourds
Au prochain levé du soleil mon Amour


fait le : jeudi 28 octobre 2010 à 13h27

Desert de solitude

Je vous entend rire
Je vous voie niesement lire
Je vous sens tellement heureux
Je vous touche d'un doitg tenebreux

Quel solitude
De faire des reves d'incertitude
Quel hypocrisie
De ne pas voir mon mal qui emplifie

Je cris en silence
Mais quel souffrance
Je regarde aveuglement
Es qu'on me sauvera a tant ?


fait le : mardi 05 octobre 2010 a 14h41

Le banc

Il est omnipresent dans le parc
Et toute sa vie il devra regarder le lac
Tant d'empreintes l'ont touchés
Tant d'amoureux qu'il a vu s'enlacer

Le banc en a vu passer des générations
Des femmes se demandant si c'etait une fille ou un garçon
Des hommes avec leurs maitresses
Qui les embrassaient sans remords ni stresse

Mais le banc reste imobil
Il est renfermé de secrets comme un asile
Et il ne montrera pas du doigt
Car meme present sa ne le regarde pas


fait le: Mardi 28 septembre 2010 a 15h20