moi

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samedi 16 octobre 2010

Ab sum


Je suis dans mes pensées
Mais je m'exile à vos cotés
Monde de melancolie
J'ai cultivé les mysteres les plus eblouis
Batiments de glace
Dans la neige qu'importe la classe
Et les rues de feu
Qui brule vos jugements affreux
Sur le long chemin qui nous separe vous dis-je..

REFRAIN:

Ab sum vous ab sum vous
Je suis si bien loin de fous
Ab sum vous ab sum vous
Dans mes mains vous ne planterez pas vos clous
Mon imagination m'emporte n'importe ou
Tant dans les bras d'un ange bienveillant
Que entre les mains de Satan
D'ombre et de lumiere
Je ne vous veux pas dans mes arrieres

Pourquoi voir le passé ?
Le vertige du verbe aimer
Et dans un desert je fuis
Derriere ma fenetre je veux plus voir la pluie
Et le ciel s'efface
Mes pensées n'ont pas assez de place
Et je vois le mieu
Juste quand je ferme les yeux
Sur le long chemin qui nous separe vous dis-je..

REFRAIN x2


fait le: vendredi 15 octobre 2010 à 10h40

J'esperais tellement


J'esperais tellement ne pas te pleurer
Tu n'as étais helas pas éphémere
Je dois me faire à l'idée
Tu es plus ancré en moi que ma chair

J'esperais tellement ne pas vieillir
Que dans ma memoire reste que les rires
Je veux revoir ton regard inoscent
Mais il est caché dans les coffres les plus efervécent

J'esperais tellement tirer la bonne carte
Plutot d'etre comme ce chemin que je rate
A vu d'oeil plein de marques de mon passé
Mais si seulement on pouvais me guider

Certains de mes actes sont souffrances
Quand ma pensée n'a pas vu les conséquences
Ainsi je suis et resterais
Helas pour des siecles et une eternité


fait le: mercredi 13 octobre 2010 à 23h42

Les larmes d'un ange


Il est tombé dans mes bras
Venant de là haut il ne savait pas
La route,le chemin qu'il devait prendre
Et il me regardait avec ses yeux si tendres

Mais la nuit de l'incertitude lui faisait peur
Et je m'enerve à ne savoir secher ses pleures
Les larmes d'un ange sont si pures quand on les efface
Mais sur notre peau laisse une douce trace

Et cette ange a deposé ses ailes dans mon coeur
En me disant qu'il se chargerait des mes frayeurs
Que c'etait à mon tour de conaitre le paradis
Et qu'il me remplacerait dans ma vie meurtrie

Apres ces quelques mots je suis monté dans les cieux
Je me suis nommé enfin chanceux
Et de ma place le bel ange je l'observais
Enquessait les cous et les cris que j'aurais du supportais


fait le : mardi 12 octobre 2010 à 16h56